Un poète syrien, aveugle, contemplant la vie plus que les yeux ne peuvent, a un jour devancé Shakespeare de quelques siècles :
«
Engendrant et détruisant, le temps est un enfant
Qui joue et qui se divertit avec une motte de terre»
Abul Ala al-Maari dans
Chants de la nuit extrême
Aucun commentaire:
Publier un commentaire